Comment une mère avec le plus grand nombre des petits, soit 44 au total, mène-t-elle sa vie et quels conseils offre-t-elle aux futures mamans

L’histoire de Mariam Nabatanzi Babirye, une femme de 43 ans, est à la fois tragique et extraordinaire. Mariam a donné naissance à plus de 40 fils et filles. Alors sa vie a été marquée par des épreuves et des difficultés. Mariam a eu des problemes la perte de sa mère alors qu’elle n’avait que quatre jours.

Son père s’est remarié rapidement, et sa belle-mère ainsi que les enfants du premier mariage de son père ne l’ont pas acceptée. Le mariage s’est révélé être un cauchemar pour Mariam. En plus des tâches ménagères, elle a dû s’occuper des pettis avec son mari.

Elle a également subi des violences physiques de la part de son mari, qui la battait régulièrement pour diverses raisons, allant de son arrivée tardive à la maison à son humeur agressive sous l’influence de l’alcool. Mariam avait l’espoir d’avoir une maison confortable et de donner six enfants à son mari, les aimant autant que sa mère décédée et ses frères et sœurs l’auraient aimée si elle avait été présente.

Cependant, son corps ne réagissait pas comme prévu. À l’âge de 13 ans, ses jumeaux sont nés, à 15 ans à des triplés, puis à 16 ans à des quadruplés, ce qui a porté le nombre des petits à neuf. Malgré la prise de conscience que la situation était devenue difficile, Mariam n’a pas réussi à arrêter de procréer.

Son spécialiste local lui a déconseillé de continuer à accoucher pour des raisons médicales, mettant en garde contre les risques pour sa santé. Il lui a toutefois assuré que si elle continuait à tomber enceinte, sa fertilité diminuerait progressivement. L’histoire de Mariam soulève des questions sur les droits des femmes, le mariage forcé e certaines personnes sont confrontées.

Elle espère un jour pouvoir offrir à tous ses enfants plus qu’un simple lit dans leurs chambres. Son histoire est à la fois un témoignage de résilience et un appel à une plus grande prise de conscience sur les droits des femmes et la nécessité d’une éducation reproductive.

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