La photographe naturaliste raconte qu’il y a des oiseaux que l’on ne se lasse probablement jamais de photographier et qui procurent une mer d’émotions positives. La chouette pygmée répond à tous les paramètres. Nous avons périodiquement trouvé des habitats de la chouette pygmée, mais sans possibilité de les filmer.
Et sur la falaise blanche, lors de la découverte de leur terrier, où les parents traînaient activement de la nourriture. Leur terrier était trop haut sur la falaise. Des reportages ont été réalisés, mais c’était loin de ce que j’aurais souhaité. En observant la falaise depuis le côté, nous avons vu les hiboux transporter de la nourriture vers leurs terriers.
Nous avons attendu que le hibou se montre et à un moment donné, nous avons vu que la famille de hiboux avait changé d’endroit. Cet endroit se prêtait très bien à un spot, dont j’ai bien sûr profité. Les hiboux sont sortis de leur terrier et se sont tenus sur une petite plate forme en attendant que leurs parents bienveillants leur apportent leur prochain lot de friandises.
La falaise n’était pas loin de la route, alors quand ils ont entendu des voix humaines, ils ont couru tête baissée dans le terrier. Nous avons profité de cette observation et, en approchant de la cachette proposée, nous avons commencé à parler. Puis un peu plus tard un autre poussin est apparu et puis un autre. Au total j’ai compté cinq poussins. Ils volaient déjà, mais continuaient d’attendre la nourriture de leurs parents.